Dialogues coquins au téléphone : Une voix diablement sensuelle

Lucresse et moi conversions souvent au téléphone. Ces entrevues tournaient très vite à la luxure et se terminaient toujours en ce qui me concerne en une bonne branlette ; J’espère que mes aventures aux allures de téléphone rose vous indiqueront la coquine voie à suivre.

Il était 22h et je venais me vautrer dans mon canapé attendant impatiemment que mon téléphone sonne. Tous les 2 jours à 22 heures précises je recevais un appel de Lucresse et cela se terminait toujours de la même manière c’est-à-dire par une allègre masturbation qui me faisait vibrer au plus profond de mon être. Mon téléphone sonna et contrairement à d’autres fois j’entendis un ordre cinglant : déshabille-toi immédiatement. Sans même y réfléchir j’ôtais mes vêtements sans savoir ce qui m’attendais, la seule certitude que j’avais était que j’allais prendre mon pied comme jamais auparavant. Lucresse avait une vraie voix de domina ; à la fois sensuelle et autoritaire et j’aimais réellement ça. Tout nu comme un vers dans mon salon, j’attendais avec impatience le prochain ordre. Avant même qu’elle reprenne la parole, je lui dis : maitresse quel est votre prochain souhait. Elle sembla apprécier ma soumission et me demanda de rester allongé les pieds écartés, je ne tardais pas à lui obéir.

Tel Rose avec une domina

Elle m’ordonna de fermer les yeux et commença à me murmurer des propos salaces qui ne me laissèrent pas indifférent. Progressivement je sentais le feu de la tentation grimper en moi et tout d’un coup je la vis dans mon salon en train de me sucer lentement la queue. Je ne comprenais vraiment pas ce qui venait de se produire mais je pris la décision de ne point y réfléchir le plaisir était trop intense pour ça. Je sentais sa langue se promener sur mon fion et le plaisir ne faisait que se décupler surtout quand je la sentis forcer mon trou de balle. Ses mains douces caressaient mon visage et je lui léchais les doigts, me laissant emporté par le plaisir.

Jouissance au bout du fil

Lucresse m’ordonna de me retourner et fit pénétrer progressivement en moi un gode assez lubrifié pour que je ne ressente aucune douleur. Les allers et retours de cet objet me faisaient frémir ; je n’étais pas gay mais je commençais à comprendre le plaisir qu’ils éprouvent. Je sentais la sève monter en moi puis, ne pouvant plus me retenir, je lâchais toute la semence dans un râle de satisfaction. Et là j’entendis soudainement : maintenant tu peux ouvrir les yeux. Lucresse n’était pas dans mon salon ; tout était dans ma tête, elle venait de me faire subir une sorte d’hypnose au téléphone et ça semblait tellement réel. C’était vraiment une maitresse en la matière.Voilà comment se déroulent mes histoires coquines …